Mon 1er traitement – BETAFERON

J’ai été sous Rebif (Bétaféron) pendant 1 mois et demi en 2010

La manipulation était difficile et contraignante. Je participais au protocole de l’Hôpital et on m’avait proposé de noter les jours de piqûres les effets indésirables ou autres. 

 :-( Ensuite j’ai stoppé net le traitement à cause de mon foie (transaminases) :-(

Conseil de Mel :

- Prenez votre temps pour les premières injections!

- N’oubliez pas de « rafraichir » votre site d’injection avec un patch avant la « piquouze »

J’avais demandé à l’infirmier de me quadriller les endroits de « piquouzes » et je m’étais piquée la première fois en la présence d’une amie.

betaseronbig.jpg

La préparation est assez longue au départ. Ensuite on s’y habitue!

On augmente petit à petit la dose (voir avec votre neurologue)

 Si vous souhaitez des renseignements, envoyez-moi un message privé!

Clin doeilMel

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BETAFERON 250 µg/ml Poudre et solvant pour solution injectable Boîte de 15 Flacons de poudre + seringues de solvant de 250 µg

Classe thérapeutique :  Neurologie-psychiatrie

Sommaire

 

Indications

Mon 1er traitement - BETAFERON shim

Betaferon est indiqué dans le traitement :
- Des patients ayant présenté un seul événement démyélinisant, accompagné d’un processus inflammatoire actif, s’il est suffisamment sévère pour nécessiter un traitement par corticostéroïdes par voie intraveineuse, si les diagnostics différentiels possibles ont été exclus et si ces patients sont considérés à haut risque de développer une sclérose en plaques cliniquement définie (voir rubrique propriétés pharmacodynamiques).
- Des patients atteints de la forme rémittente-récurrente de sclérose en plaques avec au moins deux poussées au cours des deux dernières années.
- Des patients atteints de la forme secondairement progressive de sclérose en plaques, évoluant par poussées.

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Posologie

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Le traitement par Betaferon doit être instauré sous le contrôle de médecins spécialisés en neurologie.
- Adultes :
La dose de Betaferon recommandée est de 250 microgrammes (8,0 millions d’UI) contenus dans 1 ml de la solution reconstituée, en injection sous-cutanée tous les 2 jours (voir rubrique instructions pour l’utilisation, la manipulation et l’élimination).
- Enfants et adolescents :
Aucune étude clinique ou pharmacocinétique n’a été réalisée chez l’enfant ou l’adolescent. Cependant, quelques données publiées suggèrent que le profil de sécurité de Betaferon chez l’adolescent âgé de 12 à 16 ans traité par 8,0 millions d’UI, en sous-cutanée un jour sur deux, est comparable à celui observé chez l’adulte. Il n’existe pas d’information chez l’enfant de moins de 12 ans, et, par conséquent, Betaferon ne doit pas être utilisé dans cette population.
- Il est généralement recommandé de pratiquer une augmentation progressive de dose au début du traitement.
La dose initiale est de 62,5 microgrammes (0,25 ml) en injection sous-cutanée tous les deux jours ; cette dose pourra être augmentée progressivement jusqu’à 250 microgrammes (1,0 ml) administrés tous les deux jours (voir tableau A). La période d’augmentation progressive de dose peut être ajustée en cas d’événement indésirable significatif. Pour obtenir une efficacité satisfaisante une dose de 250 microgrammes (1,0 ml) tous les deux jours devra être atteinte.
TABLEAU A : Schéma d’augmentation progressive de dose*.
. Jour de traitement : Dose = Volume.
. Jours 1, 3, 5 : 62,5 microgrammes = 0,25 ml.
. Jours 7, 9, 11 : 125 microgrammes = 0,5 ml.
. Jours 13, 15, 17 : 187,5 microgrammes = 0,75 ml.
. Jours > = 19 : 250 microgrammes = 1,0 ml.
*La période d’augmentation progressive de dose peut être ajustée en cas d’événement indésirable significatif.
- La dose optimale n’a pas été clairement déterminée.
- En l’état actuel des connaissances, on ne sait pas combien de temps les patients doivent être traités (voir rubrique propriétés pharmacodynamiques). On dispose de données de suivi dans les conditions d’un essai clinique contrôlé pour une période maximale de 5 ans chez des patients atteints de sclérose en plaques rémittente-récurrente et pour une période maximale de 3 ans chez des patients atteints de sclérose en plaques secondairement progressive. Pour la forme rémittente-récurrente, l’efficacité de Betaferon a été démontrée sur les 2 premières années. Les données disponibles au cours des 3 années suivantes sont en faveur d’un maintien de l’efficacité de Betaferon sur l’ensemble de cette période.
Chez les patients présentant un seul événement clinique évocateur d’une sclérose en plaques, l’efficacité a été démontrée sur une période de deux ans.
- Le traitement n’est pas recommandé en cas de sclérose en plaques de forme rémittente-récurrente avec moins de 2 poussées dans les 2 années précédentes ou de forme secondairement progressive ne s’étant pas avérée évolutive au cours des 2 dernières années.
- Il convient d’arrêter le traitement chez les patients non répondeurs, par exemple dans les situations suivantes : progression constante du score EDSS pendant 6 mois, recours à au moins 3 cures de corticoïdes ou d’ACTH en un an de traitement par Betaferon.

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Contre indications

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CONTRE-INDIQUE :
- Patient ayant des antécédents d’hypersensibilité à l’interféron bêta naturel ou recombinant, à l’albumine humaine, ou à l’un des excipients.
- Initiation du traitement au cours de la grossesse : les données relatives à l’utilisation de Betaferon au cours de la grossesse sont limitées. Les données disponibles montrent la possibilité d’une augmentation du risque d’avortement spontané. L’initiation du traitement par Betaferon est contre-indiqué pendant la grossesse.
- Patient présentant une dépression sévère et/ou des idées suicidaires (voir rubriques mises en garde et précautions d’emploi et effets indésirables).
- Décompensation d’une insuffisance hépatique (voir rubriques mises en garde et précautions d’emploi, interactions et effets indésirables).
- Enfants et adolescents : il n’existe pas d’information chez l’enfant de moins de 12 ans, et, par conséquent, Betaferon ne doit pas être utilisé dans cette population.
- Femmes en âge de procréer : les femmes en âge de procréer devront utiliser des mesures de contraception appropriées. En cas de début de grossesse ou de désir de grossesse au cours d’un traitement par Betaferon, la patiente doit être informée des risques éventuels et l’arrêt du traitement doit être considéré. Chez les patientes à fort taux de poussées avant le début du traitement, le risque d’une poussée sévère après arrêt de Betaferon dans le cas d’une grossesse doit être évalué par rapport à l’augmentation possible du risque d’avortement spontané.
- Allaitement : le passage de l’interféron bêta-1b dans le lait maternel n’est pas connu. Pour éviter tout risque d’effets indésirables graves chez le nourrisson, il faut faire un choix entre l’arrêt de l’allaitement et l’interruption du traitement par Betaferon.
DECONSEILLE :
L’utilisation concomitante de Betaferon et d’immunomodulateurs autres que les corticostéroïdes ou l’ACTH n’est pas recommandée.

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Effets indésirables

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a) Les effets indésirables sont fréquents au début du traitement, mais ils disparaissent généralement lors de la poursuite de celui-ci. Un syndrome pseudogrippal (fièvre, frissons, arthralgie, malaise, sueurs, céphalées ou myalgies), dû essentiellement aux effets pharmacologiques du médicament et les réactions au site d’injection constituent les réactions indésirables les plus fréquemment observées. Les réactions au site d’injection sont fréquentes après administration de Betaferon. Rougeur, gonflement, décoloration, inflammation, douleur, hypersensibilité, nécrose et réactions non spécifiques ont été significativement associées à un traitement par 250 microgrammes (8 millions d’UI) de Betaferon. Généralement, une augmentation progressive de la posologie est recommandée au début du traitement afin d’augmenter la tolérance au Betaferon (voir chapitre posologie et mode d’administration). Les symptômes pseudogrippaux peuvent également être réduits par l’administration d’anti-inflammatoires non stéroïdiens. L’incidence des réactions au point d’injection peut être réduite avec l’utilisation d’un auto-injecteur.
b) La liste d’événements indésirables ci-dessous a été dressée à partir des rapports des études cliniques (tableau 1 : événements indésirables cliniques et biologiques) et des rapports de pharmacovigilance (tableau 2 : fréquence des notifications sur la base des rapports spontanés de réactions indésirables imputables au produit et classés selon les critères suivants : très fréquents > = 1/10, fréquents > = 1/100 à < 1/10, peu fréquents > = 1/1000 à < 1/100, rares > = 1/10000 à < 1/1000, très rares < 1/10000). L’expérience encore limitée de Betaferon chez les patients atteints de sclérose en plaques ne permet pas de préjuger de la survenue d’éventuels effets indésirables de très faible incidence, et qui n’auraient pas été observés.
TABLEAU 1 : Evénements indésirables cliniques et biologiques d’incidence > = 10% et pourcentages respectifs chez les patients sous placebo ; effets indésirables associés de fréquence < 10% mais statistiquement significatifs.
Evénement unique évocateur de la sclérose en plaques (BENEFIT) : Betaferon 250 microgrammes n = 292 (Placebo n = 176) / Sclérose en plaques secondairement progressive (Etude européenne) : Betaferon 250 microgrammes n = 360 (Placebo n = 358) / Sclérose en plaques secondairement progressive (Etude nord-américaine) : Betaferon 250 microgrammes n = 317 (Placebo n = 308) / Sclérose en plaques évoluant par poussées : Betaferon 250 microgrammes n = 124 (Placebo n = 123).
- Infections et infestations :
. Infection : 6% (3%) / 13% (11%) / 11% (10%) / 14% (13%).
. Abcès : 0% (1%) / 4% (2%) / 4% (5%) / 1% (6%).
- Affections hématologiques et du système lymphatique :
. Baisse de la numération des lymphocytes (< 1500/mm3)(a),(b),(d) : 79% (45%) / 53% (28%) / 88% (68%) / 82% (67%).
. Baisse de la numération des neutrophiles (< 1500/mm3)(a),(b),(c),(d) : 11% (2%) / 18% (5%) / 4% (10%) / 18% (5%).
. Baisse de la numération des leucocytes (< 3000/mm3)(a),(b),(c),(d) : 11% (2%) / 13% (4%) / 13% (4%) / 16% (4%).
. Lymphadénopathie : 1% (1%) / 3% (1%) / 11% (5%) / 14% (11%).
- Troubles du métabolisme et de la nutrition :
Baisse de la glycémie (< 55 mg/dl)(a) : 3% (5%) / 27% (27%) / 5% (3%) / 15% (13%).
- Affections psychiatriques :
. Dépression : 10% (11%) / 24% (31%) / 44% (41%) / 25% (24%).
. Anxiété : 3% (5%) / 6% (5%) / 10% (11%) / 15% (13%).
- Affections du système nerveux :
. Céphalées(b) : 27% (17%) / 47% (41%) / 55% (46%) / 84% (77%).
. Vertiges : 3% (4%) / 14% (14%) / 28% (26%) / 35% (28%).
. Insomnie : 8% (4%) / 12% (8%) / 26% (25%) / 31% (33%).
. Migraine : 2% (2%) / 4% (3%) / 5% (4%) / 12% (7%).
. Paresthésie : 16% (17%) / 35% (39%) / 40% (43%) / 19% (21%).
- Affections oculaires :
. Conjonctivite : 1% (1%) / 2% (3%) / 6% (6%) / 12% (10%).
. Vision anormale(b) : 3% (1%) / 11% (15%) / 11% (11%) / 7% (4%).
- Affections de l’oreille et du labyrinthe :
Douleurs auriculaires : 0% (1%) / < 1% (1%) / 6% (8%) / 16% (15%).
- Affections cardiaques :
Palpitations(c) : 1% (1%) / 2% (3%) / 5% (2%) / 8% (2%).
- Affections vasculaires :
. Vasodilatation : 0% (0%) / 6% (4%) / 13% (8%) / 18% (17%).
. Hypertension(d) : 2% (0%) / 4% (2%) / 9% (8%) / 7 % (2%).
- Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
. Infection des voies respiratoires supérieures : 18% (19%) / 3% (2%) / – / -.
. Sinusite : 4% (6%) / 6% (6%) / 16% (18%) / 36% (26%).
. Majoration de la toux : 2% (2%) / 5% (10%) / 11% (15%) / 31% (23%).
. Dyspnée(c) : 0% (0%) / 3% (2%) / 8% (6%) / 8% (2%).
- Affections gastro-intestinales :
. Diarrhée : 4% (2%) / 7% (10%) / 21% (19%) / 35% (29%).
. Constipation : 1% (1%) / 12% (12%) / 22% (24%) / 24% (18%).
. Nausées : 3% (4%) / 13% (13%) / 32% (30%) / 48% (49%).
. Vomissements(b) : 5% (1%) / 4% (6%) / 10% (12%) / 21% (19%).
. Douleurs abdominales(d) : 5% (3%) / 11% (6%) / 18% (16%) / 32% (24%).
- Affections hépatobiliaires :
. Augmentation de l’alanine aminotransférase (SGPT > 5 fois la valeur initiale)(a),(b),(c),(d) : 18% (5%) / 14% (5%) / 4% (2%) / 19% (6%).
. Augmentation de l’aspartate aminotransférase (SGOT > 5 fois la valeur initiale)(a),(b),(c),(d) : 6% (1%) / 4% (1%) / 2% (1%) / 4% (0%).
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
. Troubles cutanés : 1% (0%) / 4% (4%) / 19% (17%) / 6% (8%).
. Erythème (rash)(b),(d) : 11% (3%) / 20% (12%) / 26% (20%) / 27% (32%).
- Affections musculosquelettiques et systémiques :
. Hypertonie(d) : 2% (1%) / 41% (31%) / 57% (57%) / 26% (24%).
. Myalgie(c),(d) : 8% (8%) / 23% (9%) / 19% (29%) / 44% (28%).
. Fatigue musculaire : 2% (2%) / 39% (40%) / 57% (60%) / 13% (10%).
. Lombalgies : 10% (7%) / 26% (24%) / 31% (32%) / 36% (37%).
. Douleurs au niveau des extrémités : 6% (3%) / 14% (12%) / – / 0% (0%).
- Affections du rein et des voies urinaires :
. Rétention urinaire : 1% (1%) / 4% (6%) / 15% (13%) / -.
. Protéinurie positive (> 1+)(a) : 25% (26%) / 14% (11%) / 5% (5%) / 5% (3%).
. Pollakiurie : 1% (1%) / 6% (5%) / 12% (11%) / 3% (5%).
. Incontinence urinaire : 1% (1%) / 8% (15%) / 20% (19%) / 2% (1%).
. Miction impérieuse : 1% (1%) / 8% (7%) / 21% (17%) / 4% (2%).
- Affections des organes de reproduction et du sein :
. Dysménorrhée : 2% (0%) / < 1% (< 1%) / 6% (5%) / 18% (11%).
. Troubles menstruels(c) : 1% (2%) / 9% (13%) / 10% (8%) / 17% (8%).
. Métrorragie : 2% (0%) / 12% (6%) / 10% (10%) / 15% (8%).
. Impuissance : 1% (0%) / 7% (4%) / 10% (11%) / 2% (1%).
- Troubles généraux et anomalies au site d’administration :
. Réaction au site d’injection (de différents types)(b),(c),(d),(e) : 52% (11%) / 78% (20%) / 89% (37%) / 85% (37%).
. Nécrose au site d’injection(c),(d) : 1% (0%) / 5% (0%) / 6% (0%) / 5% (0%).
. Syndrome pseudogrippal(f),(b),(c),(d) : 44% (18%) / 61% (40%) / 43% (33%) / 52% (48%).
. Fièvre(b),(c),(d) : 13% (5%) / 40% (13%) / 29% (24%) / 59% (41%).
. Douleurs : 4% (4%) / 31% (25%) / 59% (59%) / 52% (48%).
. Douleurs thoraciques(d) : 1% (0%) / 5% (4%) / 15% (8%) / 15% (15%).
. Oedèmes périphériques : 0% (0%) / 7% (7%) / 21% (18%) / 7% (8%).
. Asthénie(c) : 22% (17%) / 63% (58%) / 64% (58%) / 49% (35%).
. Frissons(b),(c),(d) : 5% (1%) / 23% (7%) / 22% (12%) / 46% (19%).
. Sueurs(c) : 2% (1%) / 6% (6%) / 10% (10%) / 23% (11%).
. Malaise général(c) : 0% (1%) / 8% (5%) / 6% (2%) / 15% (3%).
(a)Modifications biologiques.
(b)Relation significative avec le traitement par Betaferon pour les patients avec un premier événement clinique évocateur de la SEP, p < 0,05.
(c)Relation significative (p < 0,05) avec le traitement par Betaferon pour la SEP évoluant par poussées.
(d)Relation significative (p < 0,05) avec le traitement par Betaferon pour la SEP secondairement progressive.
(e)Les réactions (de tout type) au point d’injection englobent tous les événements indésirables survenant au point d’injection, c’est-à-dire : hémorragie au point d’injection, hypersensibilité au point d’injection, inflammation au point d’injection, masse au point d’injection, nécrose au point d’injection, douleur au point d’injection, réaction au point d’injection, oedème au point d’injection et atrophie au point d’injection.
(f)Le terme « symptômes pseudogrippaux » fait référence à un syndrome grippal et/ou à l’association d’au moins deux événements indésirables parmi les événements indésirables suivants : fièvre, frissons, myalgie, malaise, sueurs.
Le terme MedDRA le plus approprié est utilisé pour décrire une certaine réaction ainsi que ses synonymes et les états qui lui sont associés.
TABLEAU 2 : Fréquence des notifications (très fréquents > = 1/10, fréquents > = 1/100 à < 1/10, peu fréquents > = 1/1000 à < 1/100, rares > = 1/10000 à < 1/1000, très rares < 1/10000) sur la base des rapports spontanés de réactions indésirables.
- Affections hématologiques et du système lymphatique :
. Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Anémie. Thrombocytopénie. Leucopénie.
. Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Lymphadénopathie.
- Affections du système immunitaire :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Réactions anaphylactiques.
- Affections endocriniennes :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Hyperthyroïdie. Hypothyroïdie. Troubles thyroïdiens.
- Troubles du métabolisme et de la nutrition :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Augmentation de la triglycéridémie. Anorexie.
- Affections psychiatriques :
. Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Dépression (voir aussi la rubrique mises en garde et précautions d’emploi).
. Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Confusion. Anxiété. Instabilité émotionnelle. Tentative de suicide (voir aussi la rubrique mises en garde et précautions d’emploi).
- Affections du système nerveux :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Convulsions.
- Affections cardiaques :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Cardiomyopathie. Tachycardie. Palpitations.
- Affections vasculaires :
Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Hypertension.
- Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Bronchospasme. Dyspnée.
- Affections gastro-intestinales :
. Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Vomissements. Nausées.
. Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Pancréatite.
- Affections hépatobiliaires :
. Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Augmentation de l’alanine aminotransférase. Augmentation de l’aspartate aminotransférase.
. Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Augmentation de la bilirubinémie. Augmentation de la gamma-glutamyl-transférase (gamma-GT). Hépatite.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
. Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Urticaire. Erythème (rash). Prurit. Alopécie.
. Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Décoloration cutanée.
- Affections musculosquelettiques, systémiques et osseuses :
Peu fréquent > = 1/1000, < 1/100 : Myalgie. Hypertonie.
- Affections des organes de reproduction et du sein :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Troubles de la menstruation.
- Troubles généraux et anomalies au site d’administration :
. Très fréquent > = 1/10 : Syndrome pseudogrippal*, Frissons*, Fièvre*, Réaction au site d’injection*, Inflammation au site d’injection*, Douleur au site d’injection.
. Fréquent > = 1/100 < 1/10 : Nécrose au site d’injection*.
. Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Douleurs thoraciques. Malaise. Sueurs.
- Investigations :
Rare > = 1/10000, < 1/1000 : Perte de poids.
*fréquences enregistrées lors des essais cliniques.
Le terme MedDRA le plus approprié est utilisé pour décrire une certaine réaction ainsi que ses synonymes et les états qui lui sont associés.
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité.